Selon l’OCDE : un habitant sur 2 est en surpoids et ¼ de la population est obèse dans 34 pays sur 36 membres de l’OCDE. En France, plus de 8 millions des adultes sont victimes de l’obésité, avec 500 000 cas d’obésité sévère et la moitié des adultes sont en surpoids. Dans les pays de l’OCDE, l’obésité sévère atteint 24 % en 2016. Ce pourcentage équivaut à 50 millions de personnes obèses supplémentaires, sur une base comparée à l’année 2010, qui comptait 21 % de cas.
Les conséquences de ce fléau mondial sont lourdes : réduction de l’espérance de vie, augmentation des dépenses liées à la santé, et la productivité professionnelle.
L’organisation suggère de ne pas lésiner sur les moyens et de renforcer la politique de prévention, dans le but d’éradiquer le problème dans l’avenir. Si ces mesures de prévention sont menées à bien, elles influenceraient positivement l’économie. En effet, les personnes souffrant d’obésité sont plus sujettes à l’absentéisme au travail et sont moins productives. Ce qui engendre des pertes économiques considérables.
Parmi ces solutions proposées, la réduction à 20 % de la teneur en calories des aliments riches en gras et en sucre, à savoir les chips et confiseries. Si vous êtes dans ce cas, il est conseillé d’en limiter la consommation et de tenter de vous faire aider, comme par exemple grâce à la prise de compléments (https://www.framboise-cetonique.fr). Cela éviterait d’être concerné la survenue de plus de 580 000 nouveaux cas, par an, de maladies liées à l’obésité.
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